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ACTIONS - Risques naturels

Défendons notre climat !

CORSEPT, PAIMBOEUF, ST-VIAUD, FROSSAY, VUE, ST-BREVIN… Nous sommes tous dans le même bateau.  

 

Nos communes sont non seulement en bordure d’un fleuve mais sont d’anciennes îles bâties sur des marais. Au sujet de leur avenir, voici ce qu’en disent les climatologues : "à l'exception de la Bretagne, la côte Atlantique subira le même sort que le nord du pays : érosion des littoraux, destruction des polders dans la région de Saintes et en Vendée, salinisation des estuaires, disparition des plages et ensablement de l'arrière-côte. Bordeaux et Nantes seront en première ligne, et verront leurs industries menacées.Plus généralement, au sud de la Loire, le risque de sécheresses sera décuplé, avec des conséquences pour l'agriculture, notamment le déplacement des zones viticoles.

 

Le réchauffement climatique n’est pas une utopie. Bien sûr, la douceur printanière du mois de décembre actuel est bien agréable (+6°C par rapport aux normales saisonnières) : la pelouse est verte et grasse, les camélias sont en fleurs et les pissenlits qu’on récolte à partir de la mi-avril sont déjà sur nos tables…

 

Les agriculteurs sont très inquiets : le blé -qui devrait être actuellement au stade de la vernalisation (phase végétative de 30 à 50 jours de froid nécessaire à la germination)- présente déjà plusieurs feuilles. La phase végétative étant indispensable pour faire passer la plante au stade reproductif, des conséquences sur la récolte sont à prévoir. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres et, on le voit, les enjeux sont majeurs. Toutes les initiatives, même infiniment petites, visant à réduire l’utilisation des énergies fossiles, sont bonnes à prendre et à soumettre… Faites nous connaitre vos initiatives.

LES FILMS ET SACS EN PLASTIQUE

Les sacs et films plastiques -qui utilisent 4% de la consommation annuelle de pétrole- constituent un véritable fléau pour l’environnement. Leur production mondiale a atteint les 1000 milliards d’unité dans les années 2000.

 

Quinze ans plus tard, on n’ose pas prononcer le chiffre précédent le mot « milliards »… Leur légèreté explique qu’ils s’échappent facilement des circuits de collectes de déchets. Savez-vous qu’ils mettent quatre siècles avant de commencer à se dégrader ? Les océans en regorgent !

 

Tout d’abord réfléchissons au fait qu’avec l’équivalent de moins de 9 petits sacs en plastique on a assez de pétrole pour permettre à une automobile de rouler 1 km. Ensuite, ces sacs et autres bâches, sont souvent responsables de l’obstruction des réseaux d’évacuation des eaux, aggravant les risques d’inondation et les coûts de gestion des eaux usées et de ruissellement. Le plus souvent transportés par l’eau, ils finissent enfouis dans la vase mais leur imputrescibilité est catastrophique, notamment pour la faune marine et les oiseaux. Ils provoquent l’étouffement ou l’étranglement des cétacés. Les oiseaux marins tels les albatros, meurent les intestins remplis de sacs plastique… 

 

De nombreux pays à commencer par le Danemark les ont interdits purement et simplement.

 

VOS INITIATIVES

 

"J’ai écrit à OUEST-France car les films d’emballage des journaux sont très polluants et leur journal numérique est très mal fichu." dit Gérard R. de Frossay. Lisez sa lettre. Nous invitons nos lecteurs, soucieux de leur environnement, à imiter Gérard en copiant son courrier puisqu'il a donné son autorisation.

Presse

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